Transmettre son entreprise

Départ à la retraite approchant ou autre projet de vie en vue, lorsqu’un dirigeant pense à la transmission de son entreprise, la première inconnue est souvent « À qui ? ». Lui viennent également d’autres questions, comme « Quel est le meilleur moment ? », « Comment s’y prendre ? »… Vastes sujets nécessitant de faire appel à des spécialistes, surtout lorsque les réponses n’arrivent pas spontanément ou encore lorsqu’il est nécessaire de lancer une recherche de repreneurs.

Notre réseau d’experts en transmission 

Nous conseillons les dirigeants pour que les décisions prises soient au maximum en phase avec leurs désirs, tout comme avec la situation financière et organisationnelle de leur entreprise et les tendances de son marché.

Transmission ou cession ?

Les termes « cession » et « transmission » sont la plupart du temps employés comme des synonymes, interchangeables, pourtant, ils n’ont pas la même signification juridique. La transmission s’entend à titre gratuit alors que la cession fait intervenir un prix. Ainsi, le choix de l’une ou de l’autre a des conséquences très différentes en matière de fiscalité, d’imposition sur les plus-values notamment.

• Dans le mécanisme de cession, le cédant vend son entreprise à un repreneur sous forme de parts sociales, d’actions, ou de fonds de commerce.
• Dans celui de la transmission, le cédant transmet sans contrepartie financière. Ce peut être après son décès, lors de sa succession (legs), ou de son vivant par une donation à une seule personne ou par une donation-partage à plusieurs personnes.

Avant d’envisager la donation, la cession, ou le legs, il convient de considérer de nombreux critères et de peser les avantages et inconvénients de chaque option. La transmission peut également être envisagée de manière totale ou partielle, c’est à dire progressive dans le temps.

A qui transmettre son entreprise ?

Concernant l’identité du ou des repreneurs, plusieurs possibilités existent qu’il convient au cédant d’étudier.

À un enfant

Le chef d’une entreprise, qu’elle soit familiale ou non, est amené à s’interroger un jour ou l’autre sur la capacité de ses enfants à lui succéder en reprenant l’activité. Il y pense comme à une suite logique. Pour que cette transmission se passe bien, le cédant doit pouvoir démontrer que ce repreneur familial est capable tout autant que lui de porter la performance de l’entreprise.

À un salarié en poste

Un dirigeant peut décider de transmettre à un de ses collaborateurs en place, un des membres de la direction. Sa courbe d’expérience dans l’entreprise est alors déterminante et l’anticipation s’impose pour éviter tout parachutage qui pourrait poser des problèmes de légitimité vis-à-vis du reste du personnel.

À ses salariés

Cette possibilité peut présenter des avantages pour le dirigeant qui cède comme pour les salariés. Vision commune, ainsi que connaissance des fonctionnements internes, des clients et fournisseurs assurent au cédant une succession en douceur. Les collaborateurs sont eux rassurés sur le maintien de leur emploi, même s’il n’est pas garanti. Ce dispositif de transmission est encouragé par la loi et répond à une volonté du dirigeant qui préfère miser sur la continuité et éviter le rachat par un grand groupe.

À un tiers extérieur

Dans ce cas, le dirigeant recherche un successeur qui ne fait pas partie de sa sphère de proximité immédiate et dont l’identité lui est à priori inconnue. C’est une démarche complexe qui justifie grandement de faire appel à un cabinet conseil. Ce dernier aide à dresser le profil de la personne idéale et à mener les recherches selon des critères précis, tangibles.
– la capacité à honorer le plan de financement de la reprise et à lever les fonds nécessaires pour assurer le développement de l’entreprise ;
– l’adéquation entre l’expérience du repreneur et les compétences exigées.

MBA Capital, une expertise éprouvée en transmission d’entreprises

Avant de chosir un mode de transmission et un repreneur, il est judicieux de s’entourer d’un cabinet de professionnels aguerris à ce sujet. MBA Capital aide le chef d’entreprise, le mettant sur des rails dès que l’idée de passer le relais lui vient.

Identifier ses objectifs et priorités.

Faire l’étude de son environnement matrimonial et patrimonial.

Évaluer le coût de l’opération et identifier la solution s’avérant la moins onéreuse sur le plan fiscal.

Effectuer un diagnostic de l’entreprise afin de déterminer sa santé financière.

Lister les forces et faiblesses de la structure.

Accompagner toutes les étapes du processus dans un cadre sécurisé, ici détaillées pour la cession.

Rôle central

Les experts MBA Capital permettent de rendre fluide la circulation des informations entre les différents autres intervenants sur l’opération, qu’ils soient côté cédant ou côté contrepartie comme par exmeple notaire, avocat, fiscaliste, CGP, banquier.

Conseils structurant la transmission d’une entreprise familiale

Les dirigeants rencontrent le plus souvent des difficultés pour anticiper leur départ et formaliser un plan de transmission ou de succession. Cela requiert des capacités, de la méthode et du temps disponible qu’ils n’ont pas toujours. Dans le cas d’entreprises familiales, ils ont également une gêne à séparer l’affect du factuel.

Les cabinets MBA Capital ont l’habitude de ces transmissions qui nécessitent une grande rigueur. Ils proposent un pilotage global de l’opération, incluant la préparation du business plan, la structuration du financement et la négociation avec les financeurs. Ils gèrent l’analyse, la présentation auprès des partenaires bancaires du projet, la finalisation du processus financier et aident à suivre chacun des conseils suivants.

• Identifier ce qui fait la performance de l’entreprise (analyse desdimensions économiques, stratégiques)
• Prendre le temps d’analyser le champ des possibles. La tentation est parfois grande de transmettre son entreprise à une personne connue, par facilité ou élan du cœur pour un membre de sa famille, une personne de son entourage. Si elle est spontanée, ce n’est pas toujours la solution la plus pertinente au regard des besoins de compétitivité de l’entreprise, de développement. 
• Ne pas confondre légitimité personnelle et légitimité professionnelle mais étudier des compétences avérées, mesurables. Laisser l’irrationnel guider le processus de transmission peut être préjudiciable à la future performance et à la pérennité de l’entreprise. Prioritairement, le dirigeant doit retenir une personne qui reprendra les rênes non pas par affinités mais en se basant sur ses capacités réelles.
• Communiquer sur l’avancée de la transmission auprès des équipes. Un plan de succession se partage et nécessite de faire régulièrement des points d’étape sur ses intentions avec les collaborateurs, les managers, et de répondre à leurs questions. Seul un climat de confiance et la transparence permettent une reprise de l’activité dans des conditions sereines.
• Bâtir un plan de cession qui donne la possibilité au repreneur de prendre ses marques rapidement, avec une période d’accompagnement par le cédant dont la durée varie.
• Préserver au mieux les intérêts du cédant et de l’acquéreur.

Vous souhaitez transmettre votre entreprise ?

Les équipes de MBA Capital se tiennent à votre disposition partout en France pour discuter de votre projet.